Charles K. Reed, l’homme d’affaires «Artistes».

Charles Keller Reed
1851 – 1921

Charles Keller Reed, Taxidermiste, Ornithologiste, naturaliste, artiste, auteur, et éditeur des livres de la nature, illustré dans des couleurs naturelle par son fils Chester A. Reed. (1)

Charles Keller Reed est né le 20 avril 1851 à Huntington, Hampshire, Massachusetts. Il avait 4 ans lorsque son père, Samuel Worcester Reed, déménage au sud de Boston en 1855. C’est dans cette ville qu’il recevra son éducation dans les écoles publiques. En 1865 son père fait un autre déplacement à Providence, Rode Islande pour son travail.
Déjà à cette époque Charles manifeste un grand intérêt pour la nature et tout ce qui l’entoure. (18)

C’est le 6 juillet 1873 que Charles K. Reed se marie avec Carrie Bosworth à Barrington, Essex, MA.  Deux ans plus tard, en 1875,  Il se lance en affaires et ouvre sa première boutique d’animalerie dans le Lincoln Block au 368 1-2 Main Street Worcester. (2)

Plus tard, probablement vers 1882, Charles s’associe avec Monsieur H. L. Rand, un taxidermiste artiste qui partage la même passion que Charles pour l’Art dans la taxidermie.

Par la suite, Charles déménagera sa boutique au 262 Main Street. En 1887 il fait l’acquisition de l’entreprise «The Naturalists Exchange» de Monsieur Edward W. Forbush. (3) Il sera très actif pour la promotion de sa boutique et de ses produits. Voici deux catalogues produits en 1890 pour une clientèle spécialisée.

Pour les naturalistes (1890)

Pour les Ologistes (1890)

Et publie régulièrement des annonces dans des revues spécialisées.

«The Mineral Collector», mai 1895.

 

«The Museum», Janvier 1895.

 

En 1897 le feu détruit sa boutique (2). Ce qui l’oblige à déménager au 75 Thomas Street. Voici la première publicité de sa nouvelle boutique dans le magazine «The Museum» en août 1897.

 

 

 

 

Sa nouvelle boutique, offrira des spécimens naturalisés ainsi que tous les produits requis pour la taxidermie, l’entomologie, Oologie et une grande collection de coquilles, de minéralogie, de papillons et d’œufs.

Charles pose fièrement devant sa nouvelle boutique au 75 Thomas Street Worcester.

En 1908, Il déménagera sa boutique au 238 Main Street Worcester. Le mouvement Audubon pour la protection des oiseaux prend de plus en plus d’importance, de nouvelles restrictions légales concernant la collection d’oiseaux ou d’œufs s’imposent graduellement dans la société. C’est à ce moment que Charles délaisse graduellement la taxidermie pour se réorienter vers les activités de loisirs ornithologiques en général. Il demeurera à cette adresse jusqu’au moment de sa retraite. C’est Charles que l’on aperçoit à la fenêtre de la boutique
(P16)

«Nature Books»
Sur la photo de la boutique, remarquez cette armoirie à
gauche de la boutique. Ceci démontre clairement la nouvelle
vocation de Charles pour l’étude de la nature (Nature Study).


Entre 1901 et 1915 , Charles éditera 35 livres dédiés aux loisirs de la nature ainsi que des cartes postales, photographies, petites cartes d’images tout en couleur illustrées par son fils Chester, habituellement avec son partenaire d’impression Mr. A. M. Eddy d’Albion.

Tous les livres édités par Charles seront des publications de son fils Chester, sauf un livre, «Guide to the mushrooms» par Emma Taylor Cole, 1909.

Charles sera l’auteur de 3 livres. Son premier livre «Guide to Taxidermy» en 1903 avec une version révisée en 1908 avec son fils Chester. Son troisième livre «Animal Guide» sera publié en mai 1915. (14)

Le plus grand succès de ces éditions est sans contredit la parution des
«Birds Guides» qu’a publiés son fils Chester pour l’identification des oiseaux.(15) Cette série contribue au développement d’un nouveau concept en publiant d’autres livres pouvant contribuer aux plaisirs de l’observation de la nature en général. Il crée ainsi une collection «Nature Guides».

Parmi tous les livres de cette collection, un groupe de 6 volumes sera spécialement adapté pour être utilisé sur le terrain et deviendra la première collection de «Field Guide» pour les amateurs d’oiseaux, des plantes et des animaux. (15)

Cette collection de «Field Guide» comprend:
• Land Bird, Bird Guide , 1905
• Water Birds, Bird Guide, 1906
• Flower Guide, 1907
• Western Bird Guide, 1913
• Tree Guide, 1914 (by Julia Ellen Rogers )
• Animal Guide, 1915

Note: Ce qui est remarquable, c’est que les livres de Charles et de Chester se sont vendus jusqu’au début des années 1950 et encore aujourd’hui, il est possible de se procurer plusieurs de ces livres qui sont réimprimés par des éditeurs spécialisés dans les livres anciens. Certains sites Web sont spécialisés pour la vente de ces livres.

Dans cette foulée, Charles commercialise une paire de binoculaires sous la marque «Reed Nature Study Glass» entre 1913 et 1914. L’esprit novateur de Charles s’exprimera jusqu’à la fin.

Un artiste innovateur…

Charles est l’inventeur d’une vitre convexe ovale pour couvrir les montages d’oiseaux en taxidermie. Il obtient son brevet d’invention en 1889 (4). Charles et son fils gagneront plusieurs concours de taxidermistes avec ce type de présentation artistique.

Lors du Jamestown Exposition en 1907, Charles reçoit la médaille d’OR pour la catégorie «Ornemental Taxidermy – Game Birds Under Convex Glass». Son talent d’artiste taxidermiste est reconnu officiellement.
Charles produira un catalogue «Game Bird» dans lequel il propose 112 modèles d’oiseaux encadrés de différentes grandeurs. Vous pouvez consulter la section «Photo Gallery» pour visionner ce catalogue.
 

Voici le  modèle 61 que Charles propose dans son catalogue

 

Et voici un original conservé par la famille Reed du même modèle.

Cet original est fabriqué par son fils Chester A. Reed. Remarquez le cadre qui est fait d’écorce de bouleau blanc, tout à fait dans le style de Chester.

Voici d’autres réalisations de Charles qui démontrent son talent artistique.

Tableau de papillons

Tableau de papillons

Plateau de service

Il s’adonne également à la peinture. Voici un tableau qu’il a peint en 1918. Remarquez le cadre fait de coquillages. Charles a toujours été un grand amateur de coquillages. Il existe un tableau similaire dans la collection privée de la famille Reed.
Il excellait dans l’art de l’illustration en noir et blanc. Il a produit lui-même ses  publicités dans la revue «The Oologiste» The Oologiste, Vol. XI, No. 1, Janvier 1894

The Oologiste, Vol. XII, No. 4, Avril 1895

Il a également produit cette illustration pour le premier numéro du magazine «American Ornithology for the Home and School» en janvier 1901. Il en a produit plusieurs autres dans cette revue.

Charles Keller Reed était un artiste accompli.
Voyageur pour le plaisir, pour l’étude de la nature, pour l’aventure.
Charles a fait plusieurs voyages dans sa vie.

En 1886 il prit part à un voyage de 3 mois en Floride avec Messieurs Edward W. Forbush, H. L. Rand, John Farley, Frank Morse et deux autres personnes pour la chasse et la collecte de spécimens. En 1897 il visite la Californie et la Colombie Britannique pour l’étude de la nature. En 1899 il fit un voyage de chasse au caribou dans le Labrador. (4)

Voyage au Pôle Arctique
Mais le voyage qui fit la manchette des journaux de l’époque est celui qu’il réalisa avec le  Dr. Frédérick Cook en 1894. Il quitte New York le 27 juin. Le voyage devait durer 3 mois, mais son bateau «The Miranda» rencontra un iceberg  près des côtes du Labrador et subit des avaries trop importantes pour lui permettre de poursuivre son périple. Voici un croquis que Charles a reproduit dans son journal d’expéditions personnelles qui reconstitue la rencontre du «Miranda» et de l’Iceberg le 17 juillet 1894.

Le bateau dû retourner au port de St-Jean à Terre-Neuve pour des réparations. Cet incident aurait pu avoir des conséquences dramatiques. Quelques jours plus tard après avoir visité les environs, il reviendra à Worcester sans avoir atteint le but de son expédition, celui de visiter le pôle arctique.  Sur cette photo Charles est le troisième dans  la rangée du haut en commençant par la droite. Il est sous le trait bleu fait par Carrie B. Reed.

 

 

Carte du trajet de l’expédition

Page 1

Page 2

Liste des membres de l’expédition de 1894

Charles est le troisième en commençant par le bas de la page 2.

Un grand naturaliste

En 1890 Charles K. Reed devient membre associé de «l’American ornithologists’ Union» (AOU) (5), mais son membership sera de courte durée. Lors d’une réunion de  «l’American Ornithologists’ Union» en 1887, Monsieur F. S. Webster manifeste son mécontentement contre ceux qu’il considère comme des ennemis de l’association. Il reconnaît le bien-fondé de la taxidermie si elle sert la science, mais il désapprouve ceux qui la pratiquent pour le simple plaisir de collectionner des spécimens sans fondement scientifique. Le débat ne fera que s’amplifier avec le temps. (6)

Pour les naturalistes, (1890)

En 1895 Charles n’apparaît plus sur la liste des membres d’AOU. Ce type de publicité n’était pas pour plaire aux nouvelles tendances des scientifiques et des membres de l’AOU de l’époque.

Pour les Oologistes, 1896

D’ailleurs, en 1904 la Société Audubon de New York accuse Charles d’avoir naturalisé des oiseaux et des œufs en contradiction avec les nouvelles lois en vigueur pour la protection des oiseaux. (8) Un an plus tard, le 1er avril 1905, Charles annonce dans le magazine «The Oologist» Vol. 23, No.5 page 67, qu’il a vendu toute sa collection d’œufs au Dr. Frank H. Lattin.

Mais en 1910 Charles démontre son grand intérêt pour la protection et la conservation des oiseaux en contribuant au programme de recherche mis en place par «l’American Ornithologist Union» sur le continent américain pour retracer à l’état sauvage les derniers rescapés d’une espèce en voire de disparition, le «Pigeon voyageur» ( Passenger pigeon).

Charles publiera en 1910 un feuillet de 4 pages illustré par Chester son fils, afin de faciliter l’identification du Pigeon voyageur («Passenger pigeon») et de retrouver une espèce vivante à l’état sauvage. Charles et Chester vont investir 400$ dans ce feuillet qui sera largement distribué aux États-Unis (10). Vous pouvez consulter ce feuillet dans la section «Photo Gallery».

Le 30 juin 1914, Charles devient membre de la «Worcester Natural History Society» (4). Toute la famille, (Charles, Carrie et Chester) se sera impliquée dans cette société.

 

 

 

Le magazine «American Ornithology for the Home and School»

Charles publie régulièrement des annonces dans différentes revues de l’époque. Il découvrira avec le temps les avantages et la force de vente que peut représenter un magazine spécialisé dans le loisir scientifique. Il annoncera régulièrement dans la section «WANTS, EXCHANGES AND FOR SALES» du magazine «The Museum» afin d’échanger ou de vendre certains de ses produits. Il deviendra rapidement familier aux lecteurs du magazine.

C’est ainsi que Monsieur Walter F. Webb, Editeur du magazine “The Museum” présente Charles K. Reed à ses lecteurs le 15 mai 1896.

«Just before going to press we were pleased to welcome at our office Mr. Chas. K. Reed of Worcester, Mass. Doubtless most of our readers have heard of him, as he is a believer in printer’s ink and has persistently used the columns of the Museum and with unusual success. Hi specialty is taxidermy work in all its varied branches, although he at all times carries a very large stock of eggs, skins, shells, curios, minerals and naturalists supplies.» (12)

Dès 1898 la revue «The Museum» éprouve des problèmes de financement.. Elle n’est pas supportée par la grande communauté des rédacteurs d’ornithologie. En mars 1900 la revue cesse d’opérer. Elle sera combinée à une autre revue éditée par H. W. Keer. (13)

C’est ce moment que choisit Charles pour planifier son propre magazine dédié exclusivement à l’étude et la protection des oiseaux. Il profite d’un courant idéologique de plus en plus favorable à l’étude et à l’observation des oiseaux et s’attire ainsi la faveur des rédacteurs d’ornithologie de son époque.

Charles possède l’expérience et un sens commercial naturel pour s’aventurer dans cette nouvelle aventure. Son fils Chester possède une connaissance approfondie de l’ornithologie, une expertise d’illustrateur qui fait l’envie de ses pairs ainsi qu’un talent naturel d’éducateur toujours prêt à partager ses connaissances.

Ainsi prend forme la revue «American Ornithology for the Home and School» qui sera publiée pour la première fois le premier janvier 1901. (23)

La structure du magazine «American Ornithology for the Home and School» sera sensiblement la même que la revue “The Museum”. C’est-à-dire des textes variés, une section pour la vente et les échanges entre correspondants et la vente d’espaces publicitaires. Pour s’assurer une mise en production rapide et efficace Charles confie l’impression de son nouveau magazine à Monsieur A. M. Eddy d’Albion de New York, celui-là même qui imprimait la défunte revue «The Museum». Monsieur Eddy deviendra un partenaire d’affaires pour les futures publications de Charles.

La revue sera publiée jusqu’en août 1906, plus de 1,500 pages (24) et 67 magazines qui mensuellement seront lus par des lecteurs provenant des États-Unis, du Canada et du Mexique. Selon une évaluation personnelle (l’auteur de ce site Web) je crois que la revue devait avoir entre 60 et 80,000 abonnés en août 1906.

Ici commence l’influence de la famille Reed dans l’histoire du loisir ornithologique en Amérique en ce début du 20e siècle.

Une retraite bien méritée

L’heure de la retraite a sonné. En 1916 Charles commence à se départir des différents éléments d’actifs qu’il possède. Ainsi, il vendra l’ensemble de ses droits sur les livres qu’il a édités à son partenaire d’affaires «Doubleday, Page & Company» en échange de redevances qu’il recevra jusqu’à la fin des droits de publication. À son décès, ces redevances seront remises à son épouse Carrie Bostworth Reed.

Toute sa collection de cartes postales (oiseaux, fleurs, petites images couleurs) sera vendue à Monsieur G. P. Brown de Beverly, Massachusetts en 1916.

Ce n’est qu’en janvier 1917 qu’il effectue le grand saut. Il vendra sa boutique «Reed’s Bird Store» localisée au 238 Main Street, Worcester à Monsieur Clifford Sorenson le premier janvier 1917. (16)

Désormais, Il pourra profiter de son temps pour la lecture, la peinture et les voyages.

Son dernier voyage…

En 1919 à l’âge de 68 ans, Charles fait une demande de passeport. Ce document nous permet d’apprendre que Charles mesure 5 pieds 7 pouces, qu’il a le menton carré, la figure ronde, les yeux bruns et les cheveux gris.

Son passeport sera émis en novembre 1919. Charles et Carrie pourront entreprendre un voyage de 6 mois pour visiter Cuba et la Jamaïque. Ils quittent le port de New York le 9 décembre 1919 à bord du «United Trust Line».

 

 

 


À son arrivée en Jamaïque, sa renommée l’avait précédé. Lors de sa visite à «l’Institut of Jamaica» le 17 décembre 1919 Charles sera élu membre de cette institution en reconnaissance de sa contribution à
«l’Histoire Naturelle» dans son ensemble.

Durant leur voyage ils prendront beaucoup de photos que Carrie mettra dans un petit journal qui raconte leur périple et la découverte de ces pays aux paysages enchanteurs. À la lecture de ce petit journal, l’on constate que la passion pour la nature et les oiseaux est toujours aussi vivante en eux. Carrie rapporte fréquemment des observations d’oiseaux qu’ils ont rencontrés dans leurs différents déplacements. (22) Ici nous voyons Charles et Carrie lors d’une séance photo le 22 février 1920 à Kingston en Jamaïque. Probablement l’une des dernières photos officielles prises ensemble.

Une fin rapide

Charles est décédé subitement le 11 mars 1921 à l’âge de 70 ans. Il a eu un malaise lors d’un déplacement en train entre St. Petersburg et Jacksonville, Floride. Il est décédé à l’Hôtel Seminole de Jacksonville. Cette photo représente l’Hôtel Seminole en 1920. (2)

Beaucoup de personnes à Worcester ont reconnu sa grande contribution pour l’étude des plantes et des oiseaux. Il était également reconnu pour être le meilleur taxidermiste de la ville. Il possédait toujours sa collection de coquilles et de plantes.

Quelques années plus tard, le «Worcester Natural History Society» créera une collection de livres «Reed Ornithological Library» pour souligner l’importance de sa contribution au loisir ornithologique.(21)

La cérémonie funéraire eu lieu dans sa résidence, au 11 State Street, Worcester. Il sera inhumé au cimetière de «Forest Hills Cemetery» à Barringtong, Rode Islande.

Charles Keller Reed 1851 – 1921

Vous pouvez consultez le diaporama de cette présentation.

Retour à Famille Reed

(1) Présentation faite par Carrie Bosworth Reed dans un résumé généalogique de Charles.
J’ai [auteur du site web] personnellement ajouté le titre de taxidermiste.
(2) Gazette Worcester, March 14, 1921
(3) May, John H. 1928. Edward Howe Forbush: A biographical sketch. Proceedings of the Boston Society of natural History, vol. 39, no. 2, pp. 33-63, 2 pl.
(4) Note biographique de Charles documentée par Carrie Boswoth Reed. 30 Mars 1910, archives de la famille Reed.
(5) «The AUK» Volume VIII, page xx, «Officer and standing Committees of the American ornithologist’s Union, 1890-1891»
(6) «The AUK» Notes and News, janvier 1887, Volume 4, numéro 1, page 82.
(7) «The Museum» 15 mars 1896, page 145
(8) A brief History of American Birding, Scott Weidensaul, page 198
(9) The Oologist magazine, Volume 23, 1906, page 67.
(10) «The AUK», Volume 18, janvier 1911, The Passenger Pigeon Investigation by C. F. Hodge, pp. 52.
(11) «The Museum» Volume 1, Numéro 1 retirer cette citation
(12) «The Museum» Vol. II, No. 7, 15 mai 1896, pp. 185.
(13) A Bibliography of Scarce or Out of Print, North American Amateur and Trade Periodicals Devoted More or Less to Ornithology by Frank L. Burns, 1915
(14) pour en savoir plus consultez la section «liste des éditions de Charles»
(15) pour en savoir plus, consultez la section «Pockets Guides»
(16) Note biographique documentée par Carrie Boswoth Reed.
(17) Consultez la section «Illustrations publicitaires de Charles K. Reed».
(18) wc.rootsweb.ancestry.com, ID: I73330, Note biographique de Carrie B. Reed
(19): Worcester Sunday Telegram, août, 1894
(20): Archives de la famille Reed
(21): Consultez la section «Carrie B. Reed» pour en savoir plus.
(22): Archives de la famille Reed
(23): Lire la section: «American Ornithology for the Home and School» pour en savoir plus.
(24): Liste “Copyright Book” documenté par Carrie B. Reed

P1 : Charles en 1888, archives de la famille Reed
P2 : Archives de la famille Reed
P3 : Archives du Musée Smithsonian
P4 : Archives du Musée Smithsonian
P5 : «The Mineral Collector», mai 1895
P6 : «The Museum», Janvier 1895, Page 92
P7 : «The Museum» en août 1897
P8 : Archives de la famille Reed
P9 : Archives de la famille Reed
P10: Archives de la famille Reed
P11: Archives de la famille Reed
P12: Archives de la famille Reed
P13: Montage de plantes et de papillons, archives de la famille Reed
P14: Montage de plantes et de papillons, archives de la famille Reed
P15: Plateau de service agencé de plantes et de papillons, archives de la famille Reed
P16: Boutique de Charles au 238 Main Street, Worcester
P17: Armoirie sur la façade de la boutique de Charles au 238 Main Street, Worcester
P18: Carte publicitaire sur les livres de Charles
P19: Petit catalogue qui présente une liste de publications de Chester et de Charles.
P20: Archives de la famille Reed
P21: Archives de la famille Reed
P22: Archives de la famille Reed
P23: The Oologiste, Vol. XI, No. 1, Janvier 1894
P24: The Oologiste, Vol. XII, No. 4, Avril 1895
P25: American Ornithology for the Home and School» janvier 1901
P26: The Last Cruise of the Miranda, par Henry Collins Walsh, The transatlantic publishing company, 1895.
P27: Archives de la famille Reed
P28: Archives de la famille Reed
P29: Archives de la famille Reed
P30: The Museum, Vol II, No. 5, Mars 1896
P31: Archives de la famille Reed
P32: Archives de la famille Reed
P33: Archives de la famille Reed
P34: L’Hôtel Seminole de Jacksonville, Photo d’une carte postale de 1920. Familyoldphotos.com
P35: Archives de la famille Reed.
P36: Revue «The Museum» Vol. II, No. 7, 15 Mai 1896, page 185.
P37: Journal d’expédition du voyage en Arctique de Charles K. Reed 1894, Archives de la famille Reed.
P38: Cartes d’affaires utilisées par Charles K. Reed, Archive de la famille Reed.